QUI SONT-ELLES ?

RDC NORD KIVU, SUD KIVU ET ITURI

Les premières communautés ANGELS de ECOSYSTEM VLG world group sont apparues dans les régions du SUD KIVU, NORD KIVU, KASAÏ et d’ITURI. Car, c’est là que nous rencontrons parmi les situations les plus complexes et dramatiques au monde.

Nous sommes face à 3 soucis majeurs qui se croisent et qui quelques fois s’opposent.

Des communautés locales qui subissent des chocs récurrents qui affaibli jours après jour la solidarité locales et renferment les familles ou communautés locales sur elles-mêmes alors qu’ils ont besoin de collaborer pour construire un meilleur futur pour eux-mêmes et pour les autres. Ils sont confrontés à de multiples difficultés liés au manque d’équipements, d’argents, de service de justice équitable, de sécurité, d’approvisionnement de toutes sortes,… de tout ce qui fait une vie agréable et durable sur leur territoire. A cette situation déjà complexe, ils doivent absorber de multiples communautés de réfugiés d’horizons différents.

Des réfugiés veulent trouver asile suite à des conflits armés, ils sont mélangés dans leur périple avec des criminels de guerre qui viennent avec leurs armes. Personne n’est fiable. Le conducteur de la moto qui vous transporte d’un site à l’autre peut vous rançonner. Le militaire sensé vous protégé fini par vous tuer pour votre argent car il ne reçoit plus sa solde. Ceux qui se sont réfugiés dans la forêt doivent dormir avec des chercheurs d’or qui se droguent et des jeunes désœuvrés et sans avenir qui s’attaquent à vous dans votre sommeil. Si vous avez un commerce en ville, vous pouvez être kidnappé contre rançon à tout moment.

Des réfugiés climatiques qui malgré les signes avant coureurs reconstruisent systématiquement sur les lieux des catastrophes anciennes, présentes ou annoncées. Ces mêmes réfugiés quand ils ont tout perdu reste en attente d’une l’aide qui souvent ne vient pas ou ne vient plus avec les contextes internationaux de plus en plus tendus, les donations de plus en plus rares. Et, cette aide vient au compte goutte et la pauvreté se fait de plus en plus cruelle pour ceux qui ont tout perdu. Mais ils sont prisonniers de schémas mentaux qui les déresponsabilisent même de leur propre vie et les empêchent de s’autonomiser.